jeudi 6 juin 2013

Aspartame et glutamate complément d'informations...


Glutamate et Aspartame : ce que vous devez savoir !
par Eric Darche

Le glutamate est un exhausteur de goûts. En 1969, John Olney constata que le glutamate provoque des dégâts dans l’hypothalamus (petite glande du cerveau contrôlant le système neurohormonal). « Lorsque le glutamate, venu du sang irriguant le cerveau, atteint les neurones, ceux-ci laissent soudain entrer massivement calcium, sodium, eau, bien au-delà de leurs possibilités physiologiques, provoquant une brutale dépolarisation du neurone, qui en meurt. »

Et Le Panorama Médical, revue française, de préciser : « Les doses de glutamate ingérées par les enfants sont parfois si élevées qu’administrées à dose identique oralement à un jeune animal, elles entraînent la destruction pure et simple du système nerveux central. Un enfant de 10 ans ingère, dans un sachet de soupe instantanée, entre 1000 et 1300 mg de glutamate, soit une quantité bien supérieure à celle qui tue les noyaux cérébraux des cobayes. »
Pour justifier l’ajout copieux de glutamate dans les aliments, certaines personnes mettent en avant le fait que l’on trouve cet acide aminé naturellement dans de nombreuses denrées telles que les oeufs, les poissons, les produits laitiers, les viandes et les volailles. Dans ces aliments, on repère effectivement du glutamate, mais sous sa forme liée, c’est-à-dire lentement dégradée et absorbée par l’intestin de façon à être utilisée par les tissus (les muscles en particulier) avant que les taux toxiques ne soient atteints.
En revanche, le glutamate rajouté dans les aliments est sous sa forme libre, que l’on peut obtenir de façon concentrée par hydrolyse de la protéine végétale. Cette présentation fait intervenir un procédé chimique qui consiste en une décomposition délibérée de la structure de la protéine du végétal, libérant ainsi le glutamate, mais aussi l’aspartame (une autre excitoxine).
L’expérience a montré que l’on peut provoquer les mêmes lésions cérébrales en utilisant des protéines végétales hydrolysées qu’en utilisant le glutamate de sodium ou l’aspartame.

-  Les édulcorants synthétiques et leur nocivité : l’aspartame
L’aspartame (E 951) est composé de 50% de phénylalanine (acide aminé), de 40% d’acide aspartique et de 10% de méthanol (ou alcool de bois).

L’aspartame a été commercialisé pour la première fois aux États-Unis en 1974. Son autorisation a ensuite été suspendue pendant plusieurs années à cause d’études ayant démontré qu’il pouvait entraîner des attaques et des tumeurs au cerveau (sur 196 animaux soumis à l’aspartame, 96 moururent d’une tumeur au cerveau). Mais la FDA (Food and Drug Administration) a rendu à nouveau son approbation en 1994, en dépit de l’opposition unanime du comité d’enquête publique. Ce dernier avait réexaminé toutes les données scientifiques et demandé l’observation d’un délai. Le docteur Ralph G. Walton, professeur de psychiatrie au Collège du Nord-Est, a révisé toutes les études sur l’aspartame et a identifié dans sa structure 166 éléments pertinents mettant en péril la sécurité humaine.

Actuellement, les études sont contradictoires. Certaines accusent l’aspartame d’être à l’origine de tumeurs du cerveau, de symptômes de fibromyalgie, de spasmes, de douleurs lancinantes, d’engourdissements des jambes, de crampes, de vertiges, de maux de tête, de tinnitus, de douleurs aux articulations, de dépressions, d’attaques d’anxiété, de difficultés vocales, de troubles de la vue et de pertes de mémoire.

Lors d’autopsies, il s’est avéré que des enfants étaient décédés à cause de tumeurs cérébrales contenant des concentrations importantes d’aspartame.

Eric DARCHE
Naturopathe spécialisé en nutrition
Auteur de 7 livres publiés et 2 livres en préparation www.ericdarche.com
Tél : 04 42 96 33 18
Voir aussi le site : http://www.santeendanger.net

Source : "Soleil Levant "

http://www.soleil-levant.org/presse/article.php3?id_article=1102

 

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