Après vie bio...?

 ...ou la non décomposition des cadavres...La communauté scientifique s'inquiète : Voir http://dailygeekshow.com/2013/05/13/la-communaute-scientifique-preoccupee-les-cadavres-ne-se-decomposent-plus/#!

 J’aime le film « La belle verte » de Coline Sereau, et ne compte plus les fois où je l’ai vu, tant pour me conforter de ses visions prophétiques que pour rigoler un bon coup ! Il vieillit très bien, ce film, et reste d’actualité :

Dans les passages parlant de leur archéologie, où il est question du boycott, des grands procès des industries pharmaco/agro/pétro/alimento…et j’en passe, c’est du bonheur de constater qu’on y est ! Chaque jour apporte sa révélation…

La dernière que je viens de lire sur les cadavres qui ne décomposent pas :

J'ai travaillé dans les soins palliatifs et il y a déjà une vingtaine d'année le fossoyeur d'un village, me racontait cette histoire des cadavres qui ne se décomposaient pas et il m’en disait l'horreur... Il parlait des nourritures et des conservateurs de l'alimentation...( à son avis)qui étaient responsables...Avec toutes les normes de propreté, peur des microbes....(sacs plastics mortuaires...etc...il n'est pas étonnant d'en arriver là sans compter les produits utilisés par les thanatonautes pour conserver "l'image" pour la famille...Des personnes réfléchissant sur le sujet parlent de "compostage" des cadavres pour ça. Moi, ça ne me choque pas, ça rejoint d'être mis près des arbres sans doute. Les mentalités sont longues à évoluer surtout autour d'un tel tabou. Pourtant on peut seulement accepter le changement et la transformation de toute chose, nous autres y compris ! Oui, c'est dans le cœur que doit être la vraie demeure de ceux que l'on chérit. Dans la vie et dans la mort, l'enveloppe a peu d’importance ...mais c'est une autre histoire. Cela confirme ce que je savais intuitivement depuis longtemps On ne peut plus faire l'autruche !

Le changement est là et tout pousse à ouvrir les yeux et à choisir notre camp définitivement.

Quand nous sortirons des drames, de l’attachement au corps de souffrance (voir « le Moment présent d’Eckart Tolle) on sortira définitivement de cette dimension duelle. Beaucoup  l’ont déjà quittée et de plus en plus en prennent la voie. Tant mieux ! Réjouissons-nous ! Ces informations sont à transmettre à ceux qui cherchent encore et on besoin d’informations pour grandir sur leur chemin de transformation.Naïmé